Forum signification interpretation des reves

Discussions => Rêver de la mort => Discussion démarrée par: Lili9 le 14 janvier 14 à 17:48

Titre: Cœurs transpercés.
Posté par: Lili9 le 14 janvier 14 à 17:48
Bonjour, cette nuit j'ai rêvé de ma mort, sauf que cette mort était particulière car je devenais une sorte de fantôme matériel que tout le monde pouvait voir et que j'étais accompagné. En fait, j'étais devenu en quelque sorte invincible.

"Au début je suis avec mes parents et ils veulent retrouver un couple censé m’avoir élevé dans les montagnes lorsque j’étais enfant, vers mes 4 ans. Je leur dit que je ne m’en souviens plus du tout et ils me disent que ce n’est pas normal car ils ont beaucoup prit soin de moi à l’époque.

Mes parents retrouve la maison du couple et on y rentre. Là, un souvenir de l’époque où le couple s’était occupé de moi me revient, mais un seul, je le dit à mes parents et ils sont contents. Le mari n’est pas là mais la femme oui. Sauf que des cambrioleurs rentrent et tente de la violer. Mes parents ne font rien pour l’aider alors j’y vais. Sauf qu’elle est à 4 pattes et que je me mets derrière elle en disant « Ahah, tu ne t’attendais pas à ce qu’une femme puisse te violer ! » Je mime l’action mais en réalité s’est pour la protéger des méchants.

Sauf qu’en me retournant un d’entre eux me poignarde en plein cœur. Je saigne beaucoup, je vais bientôt mourir. Alors je sors de la maison et en sortant Kévin, (pour ce qui ne le savent pas encore, Kévin est un garçon dont j'ai étais très amoureuse mais qui n'a jamais voulu de moi) qui vient d'apparaître, sort en même temps que moi. Une grande épée lui transperce la poitrine, elle est rentrée dans son torse, au niveau du cœur, et ressort dans son dos. Il porte sa chemise à carreaux rouge. Il avance ainsi, il n’est pas encore mort car l’épée le maintien en vie. On arrive tout deux dans petite une pièce avec des miroirs. Nous devont rentrer dans les miroirs pour passer de l’autre côté, dans l’au-delà. Je suis en train de mourir et lui décide de mourir aussi alors il retire l’épée de sa poitrine, une grosse plaie béante rouge sombre lui reste, comme moi. Nous fonçons dans les miroirs mais au lieu de les traverser, on se cogne dessus, sauf que l’on meurt quand même. Enfin, nous devenons des sortes de fantômes mais nous restons matériel malgré tout. Nos plaies disparaissent, nous ne sommes plus blessés et sommes heureux alors nous partons nous promener.

Là, il me dit « Maintenant qu’il n’y a plus que nous 2, tu vas devoir me supporter parler de ma chemise pendant des heures parce que j’adore parler de ma chemise ! » alors je dis « Tu peux en parler autant que tu veux, ça ne me dérange pas ! » Il s’allonge ensuite sur le côté, sur une espèce de tapis géant qui ressemble aussi à un champ. Je m’allonge de la même manière, en face de lui et il me parle, me parle et me parle encore. Moi je l’écoute, l’écoute, l’écoute et l’écoute encore. Je ris parfois.

Au bout d’un moment, Nolwenn (une fille de ma classe) arrive, je crois qu’elle est morte elle aussi. Elle se met à parler à Kévin. Puis on se remet à se promener avec Kévin, par moment je m’agrippe à son bras, je lui fais des câlins, je me montre très tactile avec lui. Il ne le cherche pas, mais ne me repousse pas, il sourit souvent.

On arrive ensuite sur une place où se trouve beaucoup de gens que l’on connaît. Là, j’apprends qu’il y a une bombe dissimulé dans une sorte de récipient. Etant morte, je ne risque plus rien alors je décide de sauver tout le monde, je m’empare du récipient (qui est une sorte d’amphore) je retire la bombe, qui est noire et munit d’une sorte de câble en spirale extensible, je la tiens par le câble et me met à lui faire faire des cercles dans l’air (comme avec une fronde) en cirant « Mettez-vous à l’abri, ça vas exploser ! » Là, c’est la grande panique, tout le monde s’en vas, il ne reste que Mathilde (une amie) qui se met devant moi. J’envoie alors la bombe au plus loin et elle explose, nous projetant toutes 2 en arrière sur plusieurs mètres. On atterrit sur un tapis où il y a 2 trous. Un à droite et un à gauche. Du trou de droite sort des fourmis noires qui se dirigent vers le trou de gauche. Le trou de droite a était créé par le choc de l’explosion et les fourmis de ce trou vont vers l’autre trou pour retrouver leur fourmilière mais avec Mathilde on comprend que les 2 trous mènent à la même fourmilière alors on enfonce nos points dans le trou de droite afin de le faire comprendre aux fourmis mais aussi pour le reboucher. Mathilde m’apprend ensuite que c’est son tapis et qu’elle y collectionne les fourmis. Je me rends alors compte qu’il grouille de fourmis à l’intérieur et suis dégoutté d’être assise dessus."