Interprétation rêve

Bonjour, je me demandais si vous pouvez me donner votre avis sur mon rêve lucide qui est pour le moins troublant.
Si oui, j'aimerais savoir si d'autres personnes ont eu un rêve semblable. Merci d'avance, et désolé pour le roman.

Il commence comme ça :

Je suis dans mon camion (du côté passager), j'essaie d'ouvrir les yeux mais je suis trop fatigué.
J'en ouvre un de peine et de misère, et je vois mon ami Sam qui conduit.
Nous sommes sur le terrain de mon grand-père, c'est la nuit et les lumières du camion sont éteintes.
Je lui dis qu'il faut allumer les lumières à gauche du volant. Il les allume et je vois deux femmes qui nous regardent la langue sortie, accrochées sur le devant du camion.
Sur le coup, cela me semble normal : je lui dis simplement de mettre les feux de route, et ce faisant les deux femmes disparaissent.

Nous continuons notre route vers le stationnement sur la montagne. Arrivés en haut, je vois mon grand-père. Il me dit que son camion à neige va super bien, et me demande si je veux passer un coup dans le chemin.
À ce moment je ne suis plus fatigué alors j'accepte, je monte dans son camion, et je commence à déneiger. Son camion est ultra puissant : j'appuie à peine sur les gaz et je vais à toute vitesse.
Je monte vers son atelier de menuiserie, et tout à coup, la fatigue me reprend, mes yeux se ferment tout seuls. J'essaie d'aller en arrière, et le banc se couche complètement vers l'arrière.
Je ne touche plus les pédales, je perds le contrôle. Je suis trop fatigué pour faire quoi que ce soit. Le camion part à reculons et je me sens tomber dans le flanc de montagne, tout doucement.
Un long moment passe, puis je me réveille. C'est le jour, je sors du camion, puis j'observe les alentours. Je ne reconnais pas le décor.

Il y a bien une montagne devant moi, mais derrière un champ avec quelques arbres. Autour du camion, il y a des traces de pas dans la neige.
À ce moment, je commence à prendre conscience (à devenir lucide ?) parce que je ne sais pas comment je suis arrivé là.
Tout à coup, j'entends mon grand père au loin sur la montagne :
   - "Je ne trouve plus Jean-Nicolas (note : l'auteur du topic), je ne réussis pas à le rejoindre, je m'inquiète."

À ce moment, j'ai eu l'étrange sensation d'être mort dans l'accident et d'être dans un genre d'univers parallèle ou dans les limbes, le monde astral, quelque chose comme ça.
Je sais à ce moment que je ne suis pas là où je devrais être. Je décide d'aller vers la montagne où j'ai entendu mon grand-père. En haut, il y a une grosse maison luxueuse et une grande terrasse extérieure.
Sur une rampe, je trouve un drôle de téléphone portable carré. Je veux appeler mon grand-père, mais le téléphone ne marche pas. J'entre dans la maison par une porte patio.
Devant moi, dans la cuisine, je vois trois personnes âgées (deux femmes, un homme).
J'avance vers eux et je leur dis :
   - "Désolé d'entrer comme ça, je ne sais pas où je suis. C'est où ici ?"
   
Une des deux vieilles me dit "Viens-tu du mont Tremblant ?". Je lui réponds "Oui, je reste pas loin de là". Elle me dit "C'est bien ce que je pensais, je vivais là avant.".
À ce moment là, je comprends que je suis dans un rêve. Je regarde partout dans la maison, et je dis "Non non non, c'est pas vrai ici, ça n'a pas de sens, je suis dans rêve.". Les trois vieux m'ignorent.
Je ferme les yeux pour me réveiller (c'est mon truc pour voir si le rêve lucide est stable. aussi, quand j'ai les yeux fermés, je passe à travers les objets, c'est mon truc pour me mettre à voler sans crainte).
Mais là, quand j'ai ouvert mes yeux, il y avait devant moi, à gauche, deux femmes assises par terre. L'une d'elles se lève. Elle était très grande, six pieds (~1m80) et avec les épaules larges, on aurait dit une amérindienne.
Elle m'a dit "Quoi ? Tu n'aimes pas ce que je te présente ici ?". Ça m'a fait un peu peur. Je referme mes yeux pour me réveiller. Je les ouvre : elle est toujours là.
Elle me dit "Oublie ça, c'est pas toi qui décides ici. Tu vas partir quand je le veux, et tu vas devoir changer avant de partir/tu vas comprendre quelque chose/tu ne seras plus le même." (désolé, ma mémoire est floue).

Elle s'est alors mise à danser d'une façon étrange. J'ai encore plus peur. Je referme les yeux et pendant qu'ils sont fermés, elle me frappe à l'épaule. Je ressens la douleur. J'ouvre mes yeux.
Elle me dit "Plus tu résistes, plus ce sera dur.". À ce moment, je suis terrorisé. Je la laisse m'emmener où elle veut. On apparaît dans une chambre. Elle pose son regard sur moi, silencieusement.
Devant moi, un lit queen size. Deux femmes nues et inconnues se tortillent dessus de façon macabre. L'autre femme, qui était comme son acolyte, me parlait de quelque chose en rapport avec les femmes nues.
Je ne me souviens plus exactement de ce que c'était, mais c'était troublant. Ensuite, j'apparais dans un vieux bar. La femme est derrière le comptoir et me fixe silencieusement.
Elle jette rapidement son regard à gauche. Je regarde, et je vois deux noirs, un homme et une vieille femme. Ils sont vaudous. L'homme se met à me parler en créole (ou dans un autre langage inconnu).

Il sort un couteau, se coupe la main et remplit un verre de son sang. Il le donne à la vieille, elle le boit et le mastique d'une drôle de façon. Ses yeux se révulsent et elle tombe en transe.
J'apparais dans une pièce blanche. La femme est à côté de moi et me fixe. Il y a une grande porte vitrée, derrière laquelle il y a une autre porte, derrière laquelle il y a encore une infinité de portes.
Mais devant la première porte, il y a deux fillettes japonaise en uniforme scolaire et avec la coupe au carré. Elles forment une petite boule, et font une culbute vers l'arrière, puis vers l'avant, puis vers l'arrière, etc.
Tout à coup, je fais un FE. Je suis chez moi, je me lève, paniqué. Je vais aux toilettes. J'essaie d'allumer la lumière, mais rien ne se passe. Il fait noir mais pas trop. Je me regarde dans le miroir, en posant deux mains sur le lavabo.
Mon reflet est différent : il se tient le menton. Je regarde autour, il y a des décorations partout, pas comme dans la réalité. Je panique et je retourne dans mon lit pour essayer de me réveiller.

Tout chez moi est différent, mais à la même place. Mon divan est noir au lieu de brun, mes instruments de musique sont de formes et de couleurs différentes, etc. Bref, je retourne au lit. J'apparais dans la maison de mon père.
La femme est là et me fixe. J'entends un énorme vacarme dans la cave, comme du métal qui tombe par terre. Mon père monte les escaliers, il me demande de l'aider. Il redescend et remonte "en crise". Il dit "La bébite est là, j'ai un parasite !" (note : l'auteur est québécois, je vous laisse chercher la définition de "bébite").
Il redescend puis remonte, il est fâché. Il me crie dessus, dans une rage noire. Il redescend et remonte à nouveau. Cette fois-ci, il est comme en dépression. Il me propose de regarder un film. J'accepte, l'air de rien, de peur de contredire la femme.
Alors on s'installe devant la télé (mon père a déjà agi de la sorte dans la vraie vie, à cause de la drogue). J'apparais alors dans un appartement vide. La femme est là, mais son apparence a changé.
Elle a les cheveux blancs, la peau gris pâle, le front large, des joues protubérantes, un gros menton, les yeux bleu écarlate, et de forme très ronde à l'intérieur et pointue à l'extérieur.

Elle m'a parlé pendant longtemps, mais malheureusement je ne me souviens plus du tout de quoi. Je crois qu'elle m'expliquait un peu le pourquoi du comment, mais c'est flou.
Je me suis réveillé à ce moment là. Il était 3h du matin, ironiquement je crois que c'est le bruit du camion à neige municipal qui m'a réveillé...

Bonjour, je me demandais si vous pouvez me donner votre avis sur mon rêve lucide qui est pour le moins troublant.
Si oui, j'aimerais savoir si d'autres personnes ont eu un rêve semblable. Merci d'avance, et désolé pour le roman.

Il commence comme ça :

Je suis dans mon camion (du côté passager), j'essaie d'ouvrir les yeux mais je suis trop fatigué.
J'en ouvre un de peine et de misère, et je vois mon ami Sam qui conduit.
Nous sommes sur le terrain de mon grand-père, c'est la nuit et les lumières du camion sont éteintes.
Je lui dis qu'il faut allumer les lumières à gauche du volant. Il les allume et je vois deux femmes qui nous regardent la langue sortie, accrochées sur le devant du camion.
Sur le coup, cela me semble normal : je lui dis simplement de mettre les feux de route, et ce faisant les deux femmes disparaissent.

Nous continuons notre route vers le stationnement sur la montagne. Arrivés en haut, je vois mon grand-père. Il me dit que son camion à neige va super bien, et me demande si je veux passer un coup dans le chemin.
À ce moment je ne suis plus fatigué alors j'accepte, je monte dans son camion, et je commence à déneiger. Son camion est ultra puissant : j'appuie à peine sur les gaz et je vais à toute vitesse.
Je monte vers son atelier de menuiserie, et tout à coup, la fatigue me reprend, mes yeux se ferment tout seuls. J'essaie d'aller en arrière, et le banc se couche complètement vers l'arrière.
Je ne touche plus les pédales, je perds le contrôle. Je suis trop fatigué pour faire quoi que ce soit. Le camion part à reculons et je me sens tomber dans le flanc de montagne, tout doucement.
Un long moment passe, puis je me réveille. C'est le jour, je sors du camion, puis j'observe les alentours. Je ne reconnais pas le décor.

Il y a bien une montagne devant moi, mais derrière un champ avec quelques arbres. Autour du camion, il y a des traces de pas dans la neige.
À ce moment, je commence à prendre conscience (à devenir lucide ?) parce que je ne sais pas comment je suis arrivé là.
Tout à coup, j'entends mon grand père au loin sur la montagne :
   - "Je ne trouve plus Jean-Nicolas (note : l'auteur du topic), je ne réussis pas à le rejoindre, je m'inquiète."

À ce moment, j'ai eu l'étrange sensation d'être mort dans l'accident et d'être dans un genre d'univers parallèle ou dans les limbes, le monde astral, quelque chose comme ça.
Je sais à ce moment que je ne suis pas là où je devrais être. Je décide d'aller vers la montagne où j'ai entendu mon grand-père. En haut, il y a une grosse maison luxueuse et une grande terrasse extérieure.
Sur une rampe, je trouve un drôle de téléphone portable carré. Je veux appeler mon grand-père, mais le téléphone ne marche pas. J'entre dans la maison par une porte patio.
Devant moi, dans la cuisine, je vois trois personnes âgées (deux femmes, un homme).
J'avance vers eux et je leur dis :
   - "Désolé d'entrer comme ça, je ne sais pas où je suis. C'est où ici ?"
   
Une des deux vieilles me dit "Viens-tu du mont Tremblant ?". Je lui réponds "Oui, je reste pas loin de là". Elle me dit "C'est bien ce que je pensais, je vivais là avant.".
À ce moment là, je comprends que je suis dans un rêve. Je regarde partout dans la maison, et je dis "Non non non, c'est pas vrai ici, ça n'a pas de sens, je suis dans rêve.". Les trois vieux m'ignorent.
Je ferme les yeux pour me réveiller (c'est mon truc pour voir si le rêve lucide est stable. aussi, quand j'ai les yeux fermés, je passe à travers les objets, c'est mon truc pour me mettre à voler sans crainte).
Mais là, quand j'ai ouvert mes yeux, il y avait devant moi, à gauche, deux femmes assises par terre. L'une d'elles se lève. Elle était très grande, six pieds (~1m80) et avec les épaules larges, on aurait dit une amérindienne.
Elle m'a dit "Quoi ? Tu n'aimes pas ce que je te présente ici ?". Ça m'a fait un peu peur. Je referme mes yeux pour me réveiller. Je les ouvre : elle est toujours là.
Elle me dit "Oublie ça, c'est pas toi qui décides ici. Tu vas partir quand je le veux, et tu vas devoir changer avant de partir/tu vas comprendre quelque chose/tu ne seras plus le même." (désolé, ma mémoire est floue).

Elle s'est alors mise à danser d'une façon étrange. J'ai encore plus peur. Je referme les yeux et pendant qu'ils sont fermés, elle me frappe à l'épaule. Je ressens la douleur. J'ouvre mes yeux.
Elle me dit "Plus tu résistes, plus ce sera dur.". À ce moment, je suis terrorisé. Je la laisse m'emmener où elle veut. On apparaît dans une chambre. Elle pose son regard sur moi, silencieusement.
Devant moi, un lit queen size. Deux femmes nues et inconnues se tortillent dessus de façon macabre. L'autre femme, qui était comme son acolyte, me parlait de quelque chose en rapport avec les femmes nues.
Je ne me souviens plus exactement de ce que c'était, mais c'était troublant. Ensuite, j'apparais dans un vieux bar. La femme est derrière le comptoir et me fixe silencieusement.
Elle jette rapidement son regard à gauche. Je regarde, et je vois deux noirs, un homme et une vieille femme. Ils sont vaudous. L'homme se met à me parler en créole (ou dans un autre langage inconnu).

Il sort un couteau, se coupe la main et remplit un verre de son sang. Il le donne à la vieille, elle le boit et le mastique d'une drôle de façon. Ses yeux se révulsent et elle tombe en transe.
J'apparais dans une pièce blanche. La femme est à côté de moi et me fixe. Il y a une grande porte vitrée, derrière laquelle il y a une autre porte, derrière laquelle il y a encore une infinité de portes.
Mais devant la première porte, il y a deux fillettes japonaise en uniforme scolaire et avec la coupe au carré. Elles forment une petite boule, et font une culbute vers l'arrière, puis vers l'avant, puis vers l'arrière, etc.
Tout à coup, je fais un FE. Je suis chez moi, je me lève, paniqué. Je vais aux toilettes. J'essaie d'allumer la lumière, mais rien ne se passe. Il fait noir mais pas trop. Je me regarde dans le miroir, en posant deux mains sur le lavabo.
Mon reflet est différent : il se tient le menton. Je regarde autour, il y a des décorations partout, pas comme dans la réalité. Je panique et je retourne dans mon lit pour essayer de me réveiller.

Tout chez moi est différent, mais à la même place. Mon divan est noir au lieu de brun, mes instruments de musique sont de formes et de couleurs différentes, etc. Bref, je retourne au lit. J'apparais dans la maison de mon père.
La femme est là et me fixe. J'entends un énorme vacarme dans la cave, comme du métal qui tombe par terre. Mon père monte les escaliers, il me demande de l'aider. Il redescend et remonte "en crise". Il dit "La bébite est là, j'ai un parasite !" (note : l'auteur est québécois, je vous laisse chercher la définition de "bébite").
Il redescend puis remonte, il est fâché. Il me crie dessus, dans une rage noire. Il redescend et remonte à nouveau. Cette fois-ci, il est comme en dépression. Il me propose de regarder un film. J'accepte, l'air de rien, de peur de contredire la femme.
Alors on s'installe devant la télé (mon père a déjà agi de la sorte dans la vraie vie, à cause de la drogue). J'apparais alors dans un appartement vide. La femme est là, mais son apparence a changé.
Elle a les cheveux blancs, la peau gris pâle, le front large, des joues protubérantes, un gros menton, les yeux bleu écarlate, et de forme très ronde à l'intérieur et pointue à l'extérieur.

Elle m'a parlé pendant longtemps, mais malheureusement je ne me souviens plus du tout de quoi. Je crois qu'elle m'expliquait un peu le pourquoi du comment, mais c'est flou.
Je me suis réveillé à ce moment là. Il était 3h du matin, ironiquement je crois que c'est le bruit du camion à neige municipal qui m'a réveillé...