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Forum signification interprétation des rêves Centre d'informations

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Bonjour Indalaska,
Merci pour votre aide !

Alors :
- Bertrand Delanoé ne représente pas grand chose pour moi à vrai dire, si ce n'est un homme politique éloquent. Spontanément, je l'associe aussi à un des premiers hommes politiques qui aient ouvertement assumé son homosexualité.
- Je suis un homme.
- J'ai 34 ans.
- Le "Fred" n'est pas spécialement un de mes amis les plus proches, mais il m'est sympathique. Qualités : intelligent, drôle, cultivé / Défauts : un peu grande gueule, manie la mauvaise foi pour ne pas avouer ses torts, individualiste.

Merci !

Bonjour à tous,

J'ai fait un rêve très étrange il y a quelques jours et j'ai pu enregistrer un mémo avec mon dictaphone pour me souvenir de tous les détails. Je me demandais si certains d'entre vous y verraient une symbolique particulière... Je m'excuse à l'avance car il est très long. Merci pour votre aide !!

Je regarde la télévision et j'entends Bertrand Delanoé parler de manière détendue et décomplexée d'un quartier d'Asnières sur Seine (où je réside) qui m'est encore inconnu. Une sorte de « quartier rouge » où l'on loge des prostituées. Je regarde sur internet, j'y vois effectivement trois rues qui forment un triangle, situées à l'extrémité de la ville ; il est visiblement difficile d'y accéder car il y a de nombreux sens uniques.

Je prends ma voiture, et sans trop savoir comment, je me rends dans ce quartier. Je trouve les fameuses trois rues, situées sous un aqueduc en briques très haut. Il n'y a personne dans les rues, les bâtiments sont construits avec les mêmes briques que le pont, aucune fenêtre n'est visible. Je repère une porte avec un interphone, comme l'entrée d'un club privé. Je ne m'y attarde pas spécialement, je me dis juste : « tiens, des bordels hyper sécurisés, marrant... ».

Je reprends ma voiture, mais comme je n'ai pas souvenir d'être arrivé jusqu'ici en voiture, je cherche mon chemin et petit à petit, je m'aperçois que je suis dans un quartier « labyrinthe » dont on ne peut pas ressortir. J'arrive finalement près d'une réception ; je gare la voiture. Il y a du monde à cette réception, mais je remarque vite que beaucoup de gens ont l'air bizarres, un peu « dégénérés », qui ne parlent pas normalement.

Je demande comment ressortir de cet endroit ; les gens me regardent bizarrement, comme si j'étais un intrus dans une secte. Une personne qui me fait comprendre que je ne vais pas repartir si facilement ; je remarque que ma voiture a disparu, et aucune trace de mes clés (alors que je les avais sur moi). Je suis très insistant auprès de lui et je lui fais comprendre qu'il est hors de question qu'on m'empêche de repartir.

Un homme élégant arrive, chauve, très bien habillé. Je ressens pour lui une certaine attirance sexuelle, et j'ai l'impression que la réciproque est vraie. Une pensée traverse mon esprit : je suis dans un endroit où des expériences sont réalisées sur des individus pour aboutir à des « transgenres », mi-hommes mi-femmes. Impression « confirmée » par une question de l'homme élégant qui me demande si je serais d'accord pour qu'on me dote d'un utérus, ce qui selon lui, calmerait mes humeurs. Ce à quoi je réponds : « pardonnez cet accès de misogynie, mais si vous me dotez d'un appareil génital féminin, je risque d'avoir encore plus d'humeurs... ».

S'ensuit un débat entre nous durant lequel je suis quasiment incapable de parler, mes abdos se bloquent à chaque fois que j'essaie d'émettre une voyelle. Je peux prononcer les consonnes, mais mes cordes vocales n'émettent aucun son. Il n'y a que de l'air qui sort de ma bouche, comme si une force indépendante de ma volonté m'empêchait de parler.

Il me dit : « je vois que vous ne croyez pas aux vertus du transhumanisme ». Je réponds que non, que je considère que la nature (ou Dieu) nous a créés de la plus belle manière qui soit, et que cette société où l'homme est la mesure de tout m'effraie. Lui me parle de la religion comme un facteur très négatif pour l'évolution humaine. Moi, je lui parle de religion dénuée de ses aspects politiques, véhiculant des valeurs positives comme la solidarité. Là dessus, il reste silencieux et songeur, et au bout d'un moment, il m'annonce que je peux repartir, tout en sortant son chéquier.

Dans mon rêve apparaît Fred, un ami. Avant de partir, l'homme élégant m'annonce qu'il veut me faire un cadeau et il me fait deux chèques (pour des destinataires différents, je ne me souviens pas des noms) : un de 9.400 € et un de 600 €. Je demande pour quelle raison il veut me donner ces chèques. Lui répond : « oooh... encore cette culpabilité... comme si vous n'aviez pas droit à cet argent ». Moi, je lui dis « j'ai l'impression que vous me laissez repartir car je vous ai fourni une réponse à vos interrogations et je doute que cette réponse vaille autant d'argent. » Lui me soutient que si, et que j'ai le droit de partir. Je demande où sont mes clés de voiture ; il les sort de sa poche à lui, et ma voiture réapparaît comme par magie à l'endroit où je m'étais garé précédemment.

Fred et moi montons dans ma voiture et repartons, mais au bout de quelques instants, c'est comme si mon corps se paralysait entièrement. Je me gare sur le bas-côté, tout en laissant dériver la voiture, ce qui ne dérange pas Fred. Après quelques minutes, je reviens à mon état normal et nous reprenons la route. Tout semble normal sauf qu'en sens inverse, je vois une file de voitures de police, toutes sirènes dehors. J'angoisse un peu, car je n'ai pas mis ma ceinture de sécurité, mais comme elles roulent toutes à vive allure, je sens bien qu'ils sont à la poursuite de quelqu'un d'autre que moi.

Deux minutes plus tard, un passant me fait un signe du doigt. Fred à côté de moi me dit que c'est parce que je roule à contre-sens. Pourtant, je regarde la route, les panneaux, et contrairement à ce qu'ont l'air de me dire Fred et le passant, rien n'indique que je sois véritablement à contre-sens. Le rêve s'arrête...

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