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Forum signification interprétation des rêves Centre d'informations

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Dernier message par Bonneville-Grain de Ciel le 27 juin 23 à 20:19
Ce que vous écrivez cadre bien avec le contenu du rêve.

Fondamentalement, la construction de votre identité sexuelle a été perturbée à cause d'un modèle masculin auquel vous ne pouviez pas vous référer. Mais, jamais rien n'est définitif...et pour preuve avec ce rêve actualisé...

Vous pourriez faire un travail intérieur avec vos rêves afin d'équilibrer vos polarités. Il semble que vos difficultés de sommeil et de manque d'action manifestent une polarité masculine trop faible d'où la grande présence du mental...!

Bien à vous
Dernier message par Billy3 le 27 juin 23 à 19:03
Bonjour,

Je vous remercie pour cette réponse.

En effet, le lycée n'a pas été la meilleure partie de ma vie, tout comme le collège juste avant et l'école encore avant (école primaire qui a été si particulière, un déménagement de la capitale vers la province).

Pour des raisons que je n'evoquerait pas pour l'instant, je me suis toujours senti (même encore maintenant à l'âge adulte) comme ayant un manque de la figure paternel, malgré qu'il soit présent au quotidien pendant une partie de mon enfance et à distance depuis que ma maman nous a emmener en province... sans notre père, du coup. Il m'a toujours manqué de bricolé ou d'une activité quelconque (c'est pas tellement l'activité en elle-même qui comptais, finalement, mais avoir une activité de détour d'attention pour favoriser la confidence entre un père et son fils).

Quand à me relation avec ma mère, malgré qu'elle souhaitait notre bien à moi et mon frère, manquait (j'ai toujours pensé que, sans être parfaite, elle aurait pu faire un peu plus). Elle était dépassée, manquait de ressources éducative solide et fiable.

J'ai depuis longtemps (c'était plus léger à l'enfance mais à l'adolescence, ça a pris de l'ampleur pour me "pourrir" la vie maintenant encore : des soucis de sommeil, difficulté à l'endormicement, réveil nocturne, du coup, fatigué diurne et c'est souvent que je suis capable de dormir 2 heures en journée. A tel point qu'un pneumologue m'a prescrit un appareil pour la nuit (j'ai des soucis de santé physique qui justifient aux yeux du médecin certains résultats qui l'ont amené à me prescrire cet appareil: en gros, il en résulte des hypopnée du sommeil).



Est-ce que cela vous paraît cohérent avec votre analyse (si je peut placer ce terme, s'il est correct pour vous ?)?
Dernier message par Bonneville-Grain de Ciel le 27 juin 23 à 17:38
Bonjour,
Je vous livre ce que votre rêve m'inspire.

Ce rêve semble actualiser une problématique présente à la période du lycée ("passer"). Il pourrait être question d'une peur irraisonnée liée au mental (SS/ bruit/ vêtement) dans la découverte de la sexualité et du couple (lycée/ cour/ bottes).

L'allemand (Alle-Man) de la fin du rêve montre que vous acceptez votre dimension humaine, adamique en taisant (couvercle) les injonctions du mental et en agissant (bras).

C'est une prise de conscience (tristesse/ colère) que, par le passé, la raison avait étouffé les aspirations de votre âme qui cherche à se réaliser dans l'union du masculin et du féminin.

Bien à vous
Dernier message par Billy3 le 27 juin 23 à 04:17
Bonsoir,

Je viens d'arriver sur ce forum. Je ne sait pas si ce rêve est dans la bonne section et je m'en excuse. Mais il me fallait poser ces mots avant que je les oublis.

Cette nuit, je viens de refaire un rêve que je n'avait plus fait depuis 25 ans, à peu près. Il me saisi tellement aux tripes que ça me réveille brutalement (je me rend compte que mes draps sont trempés de transpiration!!!). De fait, il ne me parait pas "fini" au sens où il me permet de me mettre ou de mettre l'intéressé en sécurité alors que le danger persiste. Voici ce rêve:

"Je suis caché dans un local technique d'une cour de l'atelier technique du lycée. Nous sommes en pleine occupation nazi et mes parents, mes frères et sœurs et moi fuyons l'oppression. Nous nous dispersons rapidement, papa me dit de rentrer dans ce local. Nous courions. Papa attendait l'appui qu'il espérait depuis tant de temps. Nous étions cachés quand les SS débarque dans la cour. Trouvent il mes parents et mes frères et sœurs? Je n'en ai alors absolument aucune idée. Quand le bruite s'éloigne et le silence reviennent, je sort alors timidement de ma cachette. Je me dirige vers l'atelier et rentre dedans. Je longe un longue série de machines d'uns côté et de portes de hangar fermés de l'autre. Les lycéens et leur professeur semblent ne pas me remarqué. Je glisse le plus silencieusement, en direction d'une sortie qui donne vers les arrières (le croyait je alors) vers les arrières du lycée. Soudain, je heurte un objet métallique qui tombe dans un bruit épouvantable, que le professeur et les élèves remarque immédiatement. Le professeur se dirige vers moi. Je prend peur, car il peut me dénoncer. Je me retrouve bien vite encerclé. Le professeur me dit qu'il nous attendait (sans doute moi et ma famille) et que c'est lui qui est chargé de nous "passer". Je lui dit qu'on s'est tous caché mais que je n'ai aucune nouvelle de ma famille. Le professeur me dit alors qu'il ne faut pas perdre de temps. Il donne des instructions à certains élèves qui savent quoi faire . Je doit prendre un nom "français". Nous allons dans la salle de cours de l'atelier. Soudain, mon cœur s'accélère. J'entend du bruit dans le couloir. Je reconnait pour les avoir tant entendu ces derniers mois les bottes de ces foutu SS. Ils rentrent dans la salle de cour. Je venait de cacher un vêtement qui pourrait nettement me trahir dans l'étroit bureau d'école. Il y avait un couvercle a coulisser pour le fermer. Mon camarade d'un jour me chuchote en me tendant le couvercle "ca ne va jamais fermer". Il ne croyait pas que j'était motivé à leur échapper, le couvercle se ferma miraculeusement bien. L'allemand pèsent fit l'appel. Au mien, je répondit présent. Mon cœur battait tellement fort que j'ai cru qu'il avait couvert ma voix. Un SS passa si près de moi, je tremblait comme une feuille morte. J'était terrorisé. Quand finalement les SS sortirent, je plongeait les yeux, remplit de larme de tristesse et de colère, dans mes bras. La discussion que les SS avaient eu avec le professeur  ont eu raison de mon âme. Je n'eu pas le temps de penser à autre chose, le professeur me pris par le bras et me conduisit ailleurs...

... et c'est la que je me réveille.

Qu'en pensez-vous ? Comment interpréter cela ? Je tiens à précisé que je ne suis ni juif, ni résistant, ni Nazi, ni rien. J'ai pas connu cette époque (car né que bien plus tard).
Dernier message par Bonneville-Grain de Ciel le 27 mai 23 à 12:54
Bonjour,
Je vous livre ce que votre rêve m'inspire.

La scène des deux escaliers me fait penser au château de Chambord avec l'escalier aux deux révolutions. Votre père représente le divin qui vous a voulu femme (2) et non mère (3) alors que vous faites couple (bagues) avec le mental (château). La petite sœur représente la femme en vous.

D'ailleurs, le mot ivre fait penser au vin, au vingt, 20 soit à la femme. Cela montre l'addiction du divin à votre vocation de femme. La fin du rêve montre une descente, une incarnation en oubliant tout ce que le mental a construit en vous.

Le passage avec les lumières, le nez, la manteau et les bottes montrent vos difficultés à assumer votre sexualité de femme.

La fin du rêve montre que vous ne pouvez pas échapper à votre destin de femme.

Bien à vous
Dernier message par Selma66100 le 24 mai 23 à 01:14
Bonjour, je viens de faire ce rêve. Y a t il quelque chose de plus à comprendre ?
Il faut avant tout savoir que mon père est mort il y a trois ans, qu'il était très violent, que j'avais très peur de lui et que je ne me suis jamais opposée à lui.

J'étais dans un appartement identifié comme étant l'appartement familial (mais qu'en fait je ne connais pas).
Je suis une jeune adulte (alors qu'en vrai j'ai la quarantaine).
L'appartement est très coloré, tous les murs sont dans des tons pastels différents et il y a d'innombrables lumières allumées créant une lumière tamisée, une atmosphère douce et très agréable.
Une dispute éclate entre mon père et moi, dans sa chambre, sur un sujet dont je ne me rappelle pas et je me mets alors à l'insulter avec une force et une violencce inouïe le traitant de tous les noms, laissant éclater des années de crainte et de colère retenues.
Il ne me dit pas grand chose mais je vois immédiatement, à sa tête, qu'en réponse, il va me tuer.
Il était prévu auparavant que j'aille au cinéma et que je dépose ma petite soeur quelque part sur le trajet.
Je sais alors que je dois partir au plus vite. Je sors de la chambre, en faisant comme si de rien n'était, je suis dans un état de terreur difficilement descriptible.
Je me mets alors à récupérer de manière frénétique et désordonnée quelques objets auxquels je tiens, en faisant le moins de bruit possible. J'enfile à la hâte un manteau que j'aime, des bottes alors qu'on est en été, deux bagues (tous les objets sont vrais) tout en disant à ma soeur de se dépêcher. Je me dis que je ne pourrais sans doute jamais revenir dans cet appartement.
Mais curieusement, au moment de partir, alors que je suis terrorisée, je me mets à éteindre compulsivement toutes les lumières allumées en me disant que si en plus il voit tout ce gaspillage,, il va être furieux.
Je n'y parviens pas bien, car en effet, quand j'en éteins une, en actionnant les interrupteurs j'en allume une autre... j'arrive  tant bien que mal à en éteindre environ deux sur trois mais alors qu'on s'apprête à sortir, et alors qu'il était pourtant dans une chambre au fond de l'appartement et qu'il n'en est pas sorti, je tombe sur le palier nez à nez avec mon père qui est en train de remonter l'escalier de l'immeuble.
Je vois qu'il est ivre et il me le dit (il n'a jamais bu de sa vie) et je sais que si je ne lui échappe pas, c'est fini pour moi.
Je pousse alors ma soeur qui est devant moi dans l'escalier pour qu'elle descende plus vite.
C'est un escalier bizarre, un double escalier en fait en colimaçon on peut donc descendre ou monter en empruntant l'un ou l'autre sans croiser quelqu'un. Mais tandis que je la pousse, l'escalier s'effondre, morceau par morceau, et nous ne parvenons à descendre que lentement et péniblement.
Je vois que les morceaux qui se sont effondrés encombrent le passage et je me réveille en nage au moment ou je me dis que je ne vais sans doute pas parvenir à lui échapper. Pouvez vous m'aider ?
Merci beaucoup pour cette interprétation, je pense comprendre un peu mieux 🌹
Dernier message par sarahmah le 14 mai 23 à 21:05
Désolée, je n'ai pas compris l'interprétation...
Encore moins le fait que j'ai rêvé d'une chose avant même de le savoir...
Dernier message par Bonneville-Grain de Ciel le 14 mai 23 à 08:18
Bonjour
Je vous livre ce que votre rêve m'inspire.

L'amie représente la meilleure part de vous-même qui a été délaissée depuis 10 ans.
L'homme représente le mental avec lequel vous êtes en couple.
Les parents représente le divin et la mère intérieure qui s'occupent de vous.
La douche symbolise un nettoyage intérieur à faire avec l'aide de vos rêves (nuit).
La coupure au doigt est l'action du digital, du mental qui vous castre...
Le mot debout montre que le mental éloigne  vos deux polarités intérieures (masculin/ féminin) de votre assise (chaise).
Le pansement évoque la panse, le ventre et le bassin qui symbolisent l'inconscient (mère intérieure) à l'opposé du mental !
La gamelle est un projecteur au cinéma. Cela semble dire que vous nourrissez votre féminité (chat) de projections...ou vous vous faites des films sur la femme que vous êtes...
Le mot mille est une allusion au masculin qui n'a pas été reconnu...

Ce rêve est une invitation à un travail intérieur avec l'aide vos rêves pour vous reconnecter à la meilleure part de la femme que vous êtes. Cela passe par l'incarnation du corps qui s'oppose au 'haut perché' du mental...

Bien à vous
Dernier message par sarahmah le 13 mai 23 à 23:14
La nuit dernière, j'ai rêvé qu'une amie venait chez mes parents à l'improviste alors que j'y passais la nuit, en pleurs, en me disant que l'homme qu'elle fréquente en ce moment n'est pas celui qu'elle croyait et qu'il ne lui laissait pas le temps de se faire à cette relation. Je l'ai consolée, et elle m'a demandé de rester chez moi pour la nuit parce qu'elle ne se sentait pas de rester seule. Elle est allée prendre une douche pendant que j'informais mes parents qu'elle était là. J'étais déjà dans ma chambre, à l'étage, et ils ne l'avaient pas vu rentrer, bien que ma mère ai été en bas à ce moment là, proche de la porte d'entrée. Par la suite, dans ce rêve, je me suis retrouvée avec une coupure au niveau du doigt, et debout sur une chaise, j'ouvre l'armoire à pharmacie qui est complètement vide, et rien pour me soigner. Mon père arrive et me dit qu'il va chercher dans sa boîte à pansements de quoi s'occuper de ma coupure. En attendant, je reste debout sur ma chaise, je vois un de mes chats actuel faire ses besoins dans sa gamelle, pendant qu'un autre chat, un de mes chats décédé depuis presque 10ans dont j'étais très proche et reconnaissable entre milles, était sur la chaise avec moi, et me quémandait des milliers de carresses.

Je n'ai absolument pas compris la teneur de mon rêve, ni les différentes phases de celui-ci. Aujourd'hui, cette même amie dont j'ai rêvé me parle de la relation naissante qu'elle a avec cette homme (exactement le même que dans mon rêve, alors que j'ignorais qu'ils étaient en contact dans la réalité), dont elle me dit douter bien qu'elle soit bien lorsqu'elle est avec lui. Comment ai-je pu en rêver avant de le savoir ? Quel est le rapport avec elle, mon doigt coupé et la présence de mes chats, qui plus est un de mes chats décédés, il y a 10 ans de ça ?

Si quelqu'un est en capacité de m'expliquer, je suis preneuse... Je me suis réveillée comme apaisée, d'avoir pu soutenir mon amie, et d'avoir pu revoir ce chat...

Désolé pour l'étrangeté du rêve, je crois que je ne peux pas mieux le décrire...
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