Bonjour, voici mon reve de cette nuit, très perturbant...
Je me trouve dans un caissons blanc, s’emblable aux caissons d’hybernation visible dans les films futuristes. Mon caissons est droit et à plusieurs mètres du sol. Il est tenu par quelque chose au dessus de moi. Devant moi un autre caisson plus grand. C’est un couple, la femme est enceinte. Je les vois attendre devant un ordinateur pour leur caisson se ferme et il sont envoyé vers un nouveau monde. Le notre se meurt. Mon caisson approche, je cherche mon compagnon paniquée, mais je ne le vois pas. Je suis seule face à cet ordinateur. Il refuse de m’envoyer dans le nouveau monde, je ne servirai à rien. J’explique que mon compagnon est quelque part et qu’on s’aime, on fondera une famille. Mais cela est vain mon caisson est reposé plus loin et je vois le caisson de mon compagnon partir pour le nouveau monde. Je me retrouve dans un immeuble immense et je me dirige vers une chambre la 2308 ( mon numéro fétiche le 23 et le 08 mon jour de naissance ). Paradoxalement l’immeuble est très luxurieux rouge noir des tapis et des velours très classe. Un enfant m’appel à l’aide je le suit et me rends dans une chambre quand je m’abaisse pour l’aider je sens une présence dérière moi. Un homme son père qui est agressif et violent. Je fais pour partir il me bloque le chemin et je me sens prise au piege. Je ne bouge pas térrifiée et le gamin s’en va me laissant seule avec son père. Je veux m’enfuir et partir par la fenêtre ( paradoxal sachant que je suis dans une immeuble de presque 800 etages ). L’homme me retiens et je le pousse il tombe sur le bacon et se fracasse le crane au sol. Finalement je vois que le corp qui git au sol est celui d’une femme. L’homme qui m’agressait à disparu laissant place à cette femme que je ne connais pas. J’ai tué une femme et je prends peur. J’entends la police dans le couloir. Je pleure d’angoisse et lorsqu’ils arrivent sur les lieux du crimes ils m’envoient attendre dans les escaliers de l’immeuble. Je ne suis pas ciblée par les policiers comme criminelle au contraire ils me traitent comme une victime et se comporte comme si il fallait me protéger de cet homme toujours en liberté. Je suis assise dans les escaliers. Au centre de la piece il y a un salon rouge avec de grand canapé et des bouteilles de champagne vide et des verres, des restes des anciens passant qui sont partis. Et je continue d’attendre seule.
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